Après avoir annoncé des pertes pour l’année financière se terminant au 30 juin 2021, le groupe Rogers publie des résultats nettement plus encourageants pour les six premiers mois de l’exercice 2022, avec des bénéfices après impôts, hors autres gains et pertes, de Rs 306 millions. Les revenus du groupe connaissent également une hausse importante puisqu’ils s’élèvent à Rs 5,1 milliards. Ces résultats positifs s’expliquent notamment par la réouverture des frontières. Ils démontrent également la forte résilience du groupe, qui a pu payer un dividende intérimaire de Re 0,38 par action. Une performance qui ouvre des perspectives prometteuses pour l’année financière se terminant au 30 juin 2022.
Les revenus du groupe Rogers pour le premier semestre au 31 décembre 2021 ont augmenté de 24 % pour atteindre Rs 5, 1 milliards, contre Rs 4,1 milliards en 2021. Les bénéfices après impôts, hors autres gains et pertes, marquent également une amélioration significative puisqu’ils se chiffrent à Rs 306 millions contre des pertes de Rs 484 millions en 2021. Si cette performance s’explique notamment par la réouverture des frontières et l'assouplissement des restrictions de voyage au niveau mondial depuis octobre 2021, elle démontre également la résilience de l’ensemble des secteurs de Rogers, dont la plupart ont nettement progressé.
Philippe Espitalier-Noël, le Chief Executive Officer du groupe Rogers, nous explique :
La vigilance reste toujours de mise par rapport au climat économique volatile dans lequel nous évoluons. Nous sommes toutefois satisfaits de voir l’impact positif du plan de relance du groupe sur les résultats des six premiers mois de l’année financière se terminant au 30 juin 2022. Nous sommes confiants de la capacité de nos secteurs à atteindre les objectifs fixés dans le cadre de notre plan stratégique CAP23 et d’aller même au-delà de ces ambitions.
La réouverture complète des frontières, devrait améliorer davantage les résultats du pôle Hospitality dans les prochains mois. Si les autres secteurs du groupe poursuivent leur bonne performance, cela devrait permettre à Rogers d’être optimiste quant aux perspectives pour l’année financière.
Bilan semestriel des secteurs au 31 décembre 2021 :
Fintech
Hospitality
Logistics
Property